Maman est morte, je suis maman, voilà, c'est simple, c'est aussi simple que ça, c'est notre histoire à toutes les trois. Tu en mets du temps à raconter les histoires, je me disais quand elle me racontait une histoire dans mon lit. Là c'est allé vite, si vite, le regard de maman dans le regard de ma fille, c'est là qu'elle est, c'est là que je la retrouve, et dans ses gestes aussi, dans les gestes impatients, un peu brusques, de ma petite fille doublement aimée. [ …]. Partout, dans mon enfant, ma mère a laissé son empreinte. J. L.
Une fois de plus, Justine Lévy se livre avec talent à une confession émouvante et impudique. […] un mélange d’acidité et d’humour. Robert Solé, Le Monde des livres.
Justine Lévy rejoint l’une des plus anciennes vocations de la littérature : celle de soulager par les mots les vies meurtries et les destins foudroyés. Alexis Lacroix, Marianne.
-- Ce texte fait référence à l'édition Poche .